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Enseignements Généraux

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Message  Chaitanya Chinmay Lun 18 Juin - 18:16

Lien vers le forum général bouddhinste et choedaariste.
Lien vers le Royaume du Mnibet.
Lien vers le site du Royaume du Mnibet.

Les enseignements seront prodigués comme suit :
- Culture Générale
- Enseignements Philosophiques
- Enseignements Religieux
- Organisation du Temple Bouddhinste
- Implication du bouddhinsme dans le micromonde

Enseignement facultatif considéré comme hors-cours :
- branches minoritaires Choedaaristes


Dernière édition par le Lun 18 Juin - 18:21, édité 1 fois
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Message  Chaitanya Chinmay Lun 18 Juin - 18:18

Culture

Chapitre I-1 : Le Mnibet

Les montagnes de l'Hamilaya vues d'un village :
Enseignements Généraux Temple

Le Mnibet est un petit royaume situé au coeur des montagnes de l'Hamilaya, à plus de 4 000 mètres d'altitude, dans la région dite du Namkha, autrement dit "le ciel" en Mnibétain. D'aprés les documents de la Grande Biblitothèque Royale, le pays existe depuis l'an 658 avant notre ère, ou 293 sur le calendrier Bouddhinste. Longtemps ignorés de leurs voisins à cause des contraintes dues aux reliefs, les Mnibétains ont vécus dans des conditions souvent difficiles mais harmonieuses car la guerre ne les préoccupait pas, seul comptait leur survie non pas face aux hommes mais face à la Nature.

Le Roi Mnibétain, dit "Outamaraya" pour Roi Suprême, exerce une monarchie absolue mais pour le bien de son peuple. D'ailleurs aucune oppression n'a jamais existé au Mnibet, tandis que le controle du territoire est partagé entre différents seigneurs sous les ordres du Roi, qui sont souvent à la base des chefs de village ayant pris la place de leurs pères.

L'architecture Mnibétaine (ici la maison d'un seigneur) :
Enseignements Généraux Nepal-2small

Chasseurs et paysans, les Mnibétains dévellopèrent une culture sans pareil, les extravagances de leurs constructions étaient impressionantes car trés travaillées. Leurs habits, eux, semblent comporter moins de travail mais la finesse du tissu Mnibétain est trés recherchée dans les pays cofrontaliers au Mnibet.

Les habits Mnibétains (ici un mariage) :
Enseignements Généraux 14



Chapitre I-2 : Lama Choedaar

En l'an 332 avant notre ère, ou -33 sur le calendrier Bouddhinste, avait vécu au Mnibet Lama Choedaar, dit "l'enseignant qui répand la parole". Ce philosophe, penseur et théoricien est un pur fruit harmonieux de la culture Mnibétaine, hormis certaines particularités. En effet de ce philosophe est nait le Choedaarisme, littérallement "la route de l'Eveillé", cette philosophie de l'harmonie, de la sagesse, du respect et de la simplicité. Il parvint alors à mettre en valeur de nombreuses particularités culturelles Mnibétaine mais en rejeta certaines, comme le matérialisme. Lama Choedaar écrivit ses oeuvres philosophiques sur des rouleaux de cuir séché (encore existants et protégés dans le temple Mnibétain Nyima "le Soleil"), et ouvrit une école de philosophie proche de la Nature car c'était un Jardin, où il enseignait le Choedaarisme à ses disciples assis sur des mentoks (des fleurs blanches, symbole de pureté).

Le Choedaarisme se propagea alors dans tout le Namkha pour devenir la philosophie que l'on connait aujourd'hui. A la mort de Lama Choedaar, ses disciples le nommèrent alors le Namdak, dit "l'Esprit éveillé", il représente l'aboutissement de la quête vers l'Eveil. Il faut noter également que les Choedaaristes attendent la réincarnation de Lama Choedaar qui saura les conduire sur la route de l'Eveil.



Chapitre I-3 : Chungdak Kunsang

En l'an 259, ou 106 sur le calendrier Bouddhinste, le philosophe Choedaariste Chungdak Kunsang, dit "toujours le plus jeune" et descendant d'un des premiers disciples de Lama Choedaar, fut considéré comme la première réincarnation de Choedaar. Cette considération est venu du fait, dés l'âge de quatre ans, qu'il était observé par ses proches médusés en train de méditer sous un arbre. Vers l'âge de quatorze ans, Kungsang semblait déjà avoir acquis la sagesse des plus grands sages de l'époque, et ceux-ci furent surpris de voir que le petit enfant leur démontrait que leurs théories spirituelles étaient fausses.

Vers l'âge de vingt-quatre ans, des Choedaaristes parcouraient des dizaines de lieues et se réunissaient pour entendre la parole de Kungsang. Peut avant sa mort il décida de partir en ermite dans les montagnes de l'Hamilaya, sans prendre de nourriture, d'eau ni même de vêtements. Les écrits de l'époque racontent, selon certains Choedaaristes qui seraient partis le rencontrer dans son ermitage, que Kungsak passaient ses journées assis sur un rocher face aux montagnes, en état de méditation transcendale, sans bouger ni se nourrir pendant plusieurs mois. D'aprés ces mêmes écrits, nul n'a pu retrouver son corps.



Chapitre I-4 : le Grand Temple Nyima

Le Grand Temple Nyima et la Bibliothèque Royale (batiment de couleur plus sombre) :
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Nous avons déjà parlé dans les deux premières parties de ce chapitre de la Grande Bibliothèque Royale et du Grand Temple Mnibétain Nyima. Nous pouvons dire plusieurs choses sur ces deux monuments culturels :

Tout d'abord, ils ne font qu'un car une grande partie de Nyima est dédiée à la connaissance nationale et universelle. Nyima fut érigé à partir de 953, ou 1318 sur le calendrier Bouddhinste, dans la capitale par les Bouddhinstes, et est devenu vite un lieu de rencontres, à l'image d'un lieu de pélerinage où les plus grands sages Choedaaristes se cotoient et font part à leurs disciples de leurs réflexions.

L'Outamaraya Mnibétain Dhadul, dit "le conquérant", décida à partir de 1072, ou 1432 sur le calendrier bouddhinste, (la construction prit quelques décennies) d'agrandir Nyima afin de construire en son coeur la Grande Bibliothèque Royale qui a permit de rassembler de nombreux textes Mnibétains, ayant aussi bien traits à la philosophie Choedaariste qu'à l'astrologie, aux sciences mathématiques ou physiques, ou à l'histoire nationale.

L'agrandissement du batiment permit alors aux Choedaaristes d'avoir accés aux textes philosophiques des plus grands penseurs des siècles précédents, et ce monument est considéré au Mnibet comme une merveille culturelle de ce monde.

Nous pouvons apercevoir des bandes attachés à des fils, flottant dans les airs au-dessus du vide. Ce sont les Rigzins, ou les "pleins de connaissances". Ces Rigzins sont des copies des plus importants documents présents à la bibliothèque, et ils représentent ainsi la dispersion des connaissances à travers le monde et à la vue de tous, portées par les vents.




Chapitre I-5 : le Calendrier Bouddhinste

L'année zéro du calendrier Bouddhinste est l'année de la mort de Lama Choedaar, ou Du Namdak, en 365 avant notre ère, d'aprés le calendrier utilisé par les non-Bouddhinstes. Le nouvel an bouddhinste se fête ainsi le premier décembre (ou yamini).

Les Bouddhinstes possèdent douze mois dans leur année, calculés en fonction du cycle lunaire, et répartis en quatre saisons, en fonction du climat. Le nom de la saison correspond au nom du premier mois de cette saison (en gras ci-dessous).

janvier : ARUNA
février : KAVITA
mars : INDRA
avril : VASSANT
mai : KAMAL
juin : NALINI
juillet : JIVAN
août : NYIMA
septembre : BAKULA
octobre : INDRA
novembre : RAJNI
décembre : YAMINI

Note : 2007 équivaut à l'an 2372 ap. L-C (aprés Lama Choedaar), d'après le calendrier bouddhinste.




Chapitre II-1 : L'étude

Au Mnibet, les disciples Choedaaristes sont considérés par les populations comme des Namdak Jigme Khedup, les braves esprits ouverts de l'Eveillé. La méditation et la convivialité sont au centre de leurs pratiques, et souvent les disciples quittaient quelques années leurs Maitres philosophiques pour parcourir le monde afin de mieux connaitre l'Homme et la Terre, mais aussi les connaissances propres aux nombreux peuples tout en propageant la pensée Bouddhinste.

Les disciples Choedaaristes vagabonds sont ainsi à la recherche du Rita, la vérité, et du Khenrab, la connaissance et la sagesse, qui leur permettront d'accéder à la médidation transcendantale et à l'Eveil. Souvent trés bien accueillis et respectés par les populations, ils sont appelés à régler les conflits avec la sagesse qui leur est propre et à enseigner leurs connaissances.

Les Choedaaristes ont également comme particularités de manger trés peu, et de ne boire jamais d'alcool. Leur nourriture est souvent végétarienne, et ne mangent que la nourriture qu'ils chassent ou cultivent, ou qu'on leur offre, pensant que la nourriture est une offre de la Nature est que celle-ci ne doit pas être commercée, tandis que la consommation de viande se réduit au stricte minimum vital par respect de la vie.
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Message  Chaitanya Chinmay Lun 18 Juin - 18:18

Philosophie Choedaariste

Chapitre I-1 : Introduction I

Mes biens chers frères, vous que je ne connais point et qui ne me connaissent pas encore, oubliez votre ancienne vie nourrie par le Mal, l'Egoïsme, le Matérialisme et la Peur. Ici, contentez-vous de suivre le Choedaarisme, si votre Conscience vous le permet, et découvrez ce qu'est la vraie vie nourrie par la Nature, l'Amitié, la Communauté et la Joie.

La connaissance du Choedaarisme est la clé pour une vie heureuse dans la simplicité et le respect de ses pairs.

Cette phrase pourrait à elle seule résumer le Choedaarisme, mais un tel réductionnisme n'est pas digne des pensées Choedaaristes.
Nous verons tous ensemble, petit à petit tel le gland qui germe pour donner naissance à un magnifique chêne grand et robuste, ce qui constituera Philosophie Choedaariste.


Chapitre I-2 : Introduction II

Le plus important dans l'initiation au Choedaarisme, ce n'est pas la lecture de mes quelques humbles pensées et méditations, mais l'intéractivité avec moi-même, ou les autres disciples à mes côtés, plus expérimentés, et le nouveau venu souhaitant découvrir tout ceci.

Ainsi, le Jeune me pose des questions, auquelles j'essais de répondre de mon mieux tout en lui posant à lui-même des questions, et en le faisant réfléchir par lui-même. Cette façon de faire doit ainsi le mener petit à petit à une plus large compréhension de ce qu'est le Choedaarisme, parcours long et laborieux.

Nous, Choedaaristes, avons sans doute l'orgueil vain de vouloir enseigner la vie, l'art de vivre et de voir le monde, l'initiation à la sagesse, à la poursuite du rêve de l'omniscience, tout cela unifié dans ce que nous appelons "l'Eveil".


Chapitre I-3 : Noms Choedaaristes

Chaque disciple se sentant prêt à faire le premier pas vers le Choedaariste pourra me demander à recevoir son nom Choedaariste.

Dans la culture Choedaariste, chaque nom a une signification et sera donné en fonction de la personnalité du disciple. Au niveau plus philosophique, lorsque le disciple n'est plus dans son ancien monde matérialiste, il prend alors son nom Choedaariste afin de montrer son rejet de son ancienne vie au sein du cercle Choedaariste et ne plus être la même personne, pour ne plus songer qu'à sa méditation et son Eveil.


Chapitre I-4 : Tutoiement

Un des principes du Choedaariste est le tutoiement, qui appelle à être appliqué entre disciples, mais aussi avec des personnes étrangères à la philosophie si du moins cela ne va pas à l'encontre de leurs cultures.

Le vouvoiement est un vecteur de soumission issu d'un protocole futile et non de respect car celui-ci n'est que superficiel car il ne passe que par la voie oral. Si le vouvoiement est respectueux oralement, le tutoiement permet quant à lui d'effacer la superficialité des propos car seul le respect intérieur est important. Les hommes frères sont égaux et pour cela il ne doit se faire que l'unique procédé oral du tutoiement.



Chapitre II-1 : Religion

Quoi que puisses en dire les mauvaises langues, sifflantes tel le mesquin serpent, le Choedaarisme n'est pas une religion.

Certes l'on peut devenir Choedaariste, mais cela n'engage en rien. En effet, on ne devient pas Choedaariste extérieurement, par des cérémonies ou d'autres matérialisations, on le devient en soi.
Cela signifie que ce ne sont pas les autres frères qui vous donneront votre nouvelle spiritualité, mais bel et bien vous.
De plus, vous ne saurez pas à quel instant vous l'aurez acquise, elle ne puit grandir en vous que à l'aide du temps, et de la méditation personnelle autant que collective.

Chapitre II-2 : Croyance

Le religieux croit en une instance supérieure et transcendantale, lui vouant un culte par le biais de dogmes et de pratiques, tandis qu'il se soumet à une hiérarchisation de l'homme au sein du culte. A l'inverse, le Choedaariste athée n'a pas de croyances de cette sorte. Le Choedaariste se contente de se fortifier spirituellement (voir chapitre V), seuls des principes accompagnent sa vie et ses méditations tandis qu'au sein de la philosophie les dogmes et pratiques matérielles et superficielles sont inexistantes. Le Choedaariste athée voit en ses semblables une source d'enseignements et d'expériences qu'il doit partager et échanger.




Chapitre III-1 : Les Vies

Chers disciples, la Nature dans sa grande tendresse et bienveillance nous a offert ici bas un corps afin de jouir des plaisir simples de ce monde. Mais en ce corps est enfermée une âme, un esprit. Cette entitée spirituel et éternelle tend à grandir, à s'émanciper du corps purement matériel et mortel. Le Choedaarisme permet cette émancipation par ses principes, encourageant la pureté de l'esprit, mais aussi celle du corps car celui-ci lie l'esprit à la joir et aux plaisirs.

Chaque corps est unique, et pour cela il faut savoir le connaitre et l'apprécier dans chacune de ses vies, en le modérant et en le respectant. Le corps permet le bonheur, les plaisirs simples, tandis que l'esprit permet le savoir et la connaissance, qui se renouvellent à chaque nouvelles vies, l'esprit devenant plus complet malgré la diificulté d'être conscient de ces connaissances.

L'Omniscience et sa quête permettent de tendre à maitriser son esprit et les secrets qu'il contient. Le spirituel doit être compris par le Choedaariste, afin que l'esprit n'ait plus à se renouveler éternellement et aveuglément dans un nouveau corps, mais gardera ses savoirs qui ne seront plus l'inconscience du sage omniscient.



Chapitre IV-1 : La Nature

La nature est composée de toutes choses, et toutes choses composent la Nature. Par votre simple existence, vous-même composez la Nature, et lors de votre venue dans ce monde c'est elle qui vous a composé. La Nature a fait de vous ce que vous êtes aujourd'hui, et continuera à vous modeler depuis votre Aube à votre Crépuscule.


Regardez ce magnifique Jardin où nous sommes. Si à la fin de cette journée vous irez vous promener, observez-le bien.

Peut-être découvrirez-vous un nid d'oiseau, où se trouveront quelques oeufs encore tout chaud par la couve de leur mère, effrayée par votre brutale arrivée. Ce nid fait de branchages constituant un cercle, abrité dans des hautes herbes ou une branche d'arbre, et bien ce nid et ses oeufs représentent l'Homme, couvé par la Nature, protégé par ses soins maternels, qui plus tard partira seul vers son destin, oubliant cette Nature qui l'avait tant comblé.

Peut-être découvrirez-vous des fleurs dont vous ne connaissiez même pas l'existence. Ces fleurs sont comme les Hommes, ignorés par vous jusqu'à ce que vous vous intéressiez à eux. Et c'est à ce moment précis que toute leur beauté vous apparait.


Mes amis, j'espère que vous avez bien écouté ces paroles, elles doivent vous apprendre à ne plus voir mais regarder la Vie telle qu'elle est, et non pas comme vous vous l'imaginez.


Chapitre IV-2 : Dieu

Les hommes ont toujours eu à méditer sur l'existence de Dieu. Parfois, la philosophie et la religion ont eu à s'affronter, la philosophie démontrant l'inexistance de Dieu tandis que la religion rejetait les philosophes.

Mais le Choedaarisme est bien au dessus de ça, car sa philosophie laisse les hommes libres de croire comme ils le souhaitent. C'est à chacun de voir le rapport Dieu-Nature comme il l'entend. Comme eut trés bien raisonné en son temps Yash Yashodhan, "le Choedaarisme n'est pas un mouvement philosophique restrictif à une certaine idéologie. Il permet, par les échanges entre personnes, de favoriser notre chemin vers l'éveil. Si je devais résumer aussi simplement, le Choedaarisme est un univers de rencontres. Dieu peut être ou pas la nature. A chacun de voir cela comme il le pense."



Chapitre V-1 : L'Omniscience, ou la voie sans fin

Mes biens chers disciples, la recherche de la connaissance et son usage sont des arts que chacun se doit tout d'abord d'expérimenter dans le but recherché qu'est la maîtrise.

Sachez que l'Omniscience est une des grandes Quêtes vers l'Eveil.

Mais n'ignorez plus qu'au fur et à mesure que l'on accumule ses connaissances, l'on découvre l'immensité de ce qui reste encore à connaître, tel si l'on pouvait se rapprocher d'une étoile céleste et que l'espace infini s'étalait de plus en plus entre la Lumière et notre corps.

L'Omniscience est ainsi inaccessible, mais tenter de l'approcher du plus prés sera un but pour l'Eveil, la connaissance parfaisant la sagesse naissante du disciple convaincu.


Chapitre V-2 : La Théorie de l'Eveil

L'Eveil est la quête Ultime du Choedaariste qui regroupe la maitrise de soi et de son corps, de ses désirs et de ses sentiments, par l'application des principes du Choedaarisme. L'Eveil est synonyme de sagesse, et le Sage Eveillé a alors la connaissance de la vie et du monde. Une nouvelle vision s'offre à lui, il n'est plus un Homme matériel et mortel, mais un Homme spirituel et son esprit demeurera éternel.

L'Eveillé sait et a conscience de son savoir, il est Maitre dans la connaissance et a la faculté d'enseigner et de sauver les valeurs de l'Homme, et les Hommes des eaux déchainées de la décadence. Toute sa vie repose sur l'application du Choedaarisme et de son enseignement à ses disciples. L'Eveillé est uni à ses croyances, au Choedaarisme, aux Hommes.



Chapitre VI-1 : Parabole du Maître et de l'Esclave

L'esclave du maître est un homme qui a perdu tout ses droits, à qui son maître lui impose des tâches. Il n'aura ainsi de réalité que parce qu'il travaille, sa vie va s'échanger contre une perpétuelle somme de travaux, il est enchaîné à sa condition, figure de son aliénation.

Ainsi l'esclave travaille encore et encore, devenant petit à petit le médiateurobligé entre le maître et le monde, maître qui s'éloigne imperceptiblement du monde qu'il ne connaît que par l'intermédaire de son esclave.

Le maître ignore ainsi tout de la coupe de fruits se situant sur sa table, des fruits il n'en connaît que la consommation, il ignore tout du travail à fournir pour que ces fruits arrivent sur sa table, il en ignore également les métiers relatifs à la récolte, la taille des arbres, le travail de la terre. Or son esclave sait tout de cela et qui, par son travail, se confronte à cette négativité qui est la souffrance, la peine dans le labeur.

Jour aprés jour, son aliénation se transforme en maîtrise du monde, il s'approprie ce monde qui n'a alors plus de secrets pour lui alors que pour le maître ce monde devient de plus en plus une énigme, et il devient dépendant de l'esclave. La maître est devenu un maître sans maîtrise, il s'est à son tour aliéné à sa propre liberté, à son statut.


Chapitre VI-2 : Parabole du Maître et de l'Esclave

L'esclave s'est réapproprié lui-même à travers son travail, et au bout de ce processus il y a sa libération, de tel sorte que le maître s'ait retrouvé beaucoup plus enchaîné que lui.

L'oisiveté est ainsi nuisible à l'Homme, tandis que le travail est libérateur et permet la perception du monde, de la Nature. L'Homme par son action incarne ses valeurs dans le monde, à la différence de l'animal chez qui son déterminisme biologique le pousse à être.


Chapitre VII : Des Six Poisons de l'Esprit

Les maux corrompent l'esprit de l'homme, et celui-ci doit tenter de les passer outre afin d'atteindre l'Eveil. L'avidité et la convoitise, la haine et la colère, l'ignorance et l'indifférence sont les six poisons et voiles de l'esprit. Les causes de la souffrance humaine proviennent de l'incapacité à percevoir correctement la réalité. Cette ignorance et les illusions qu'elle provoque conduisent à l'avidité des hommes, à leur désir de posséder davantage que les autres, à l'attachement et à la haine éprouvés pour des personnes ou pour des choses. La souffrance naît du désir ou de l'envie. Limite tes désirs et tu limiteras ta soufrance.


Chapitre VIII : Du comportement Juste

Les actions du corps, de la parole et de l’esprit ont des conséquences pour nous-mêmes et pour ce qui nous entoure, les autres comme notre environnement.

Les actions malhabiles sont celles qui prennent leurs racines dans les six poisons de l'esprit. Elles tendent à avoir des conséquences mauvaises pour nous ou pour les autres. Les actions habiles sont celles qui sont exemptes des poisons de l'esprit et qui, au lieu de cela, sont motivées par leurs antonymes. Elles tendent à avoir des conséquences positives pour nous ou pour les autres. Dans le Choedaarisme, une action n’est donc ni bien ni mal en elle-même, mais est favorable ou défavorable selon la motivation et l’état d’esprit qui la sous-tend.

L’éthique Choedaariste nous invite donc à prendre conscience des états d’esprit dans lesquels nous nous trouvons et à partir desquels nous agissons, parlons ou pensons et à être responsable tant de ces états d’esprit que des conséquences de nos actions.

Comme eut dis Lama Choedaar en son temps :

Diso disaṃ yaṃ taṃ kayirā verī vā pana verinam,
Micchāpanihitaṃ cittaṃ pāpiyo naṃ taṃ kare.


Quel que soit le mal qu'un ennemi fasse à un ennemi ou un haineux à un haineux, un cœur mal dirigé fait un mal encore plus grand.


Chapitre IX : Des 5 Préceptes

S'efforcer de ne pas nuire aux êtres vivants ni retirer la vie,
S'efforcer de ne pas prendre ce qui n'est pas donné,
S'efforcer de ne pas perdre la maîtrise de ses sens,
S'efforcer de ne pas user de paroles fausses ou mensongères,
S'efforcer de ne pas ingérer tout produit intoxicant diminuant la maîtrise de soi et la prise de conscience.

Ainsi le Choedaariste se remémore ces préceptes lors de sa méditation :

Avec des actions bienveillantes, je purifie mon corps,
Avec une générosité sans réserve, je purifie mon corps,
Avec calme, simplicité et contentement, je purifie mon corps,
Avec une communication véritable, je purifie ma parole,
Avec une attention claire et radieuse, je purifie mon esprit.
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Message  Chaitanya Chinmay Lun 18 Juin - 18:18

Religion Bouddhinste

Chapitre I : La Religion, et la Philosophie

Il existe deux mouvements concernant le Bouddhinsme : la philosophie Choedaariste et la religion Bouddhinste. Le Choedaariste ne suivant que la philosophie est nommé "disciple", car il reçoit les enseignements philosophiques, tandis que le Bouddhinste religieux est nommé "adepte" car il adhère aux doctrines et aux rites composant la religion.

Il est important de savoir que le disciple n'a aucune obligation, comme il est dit dans les textes, et peut choisir ou non sa religion, tandis que l'adepte est obligatoirement un disciple qui suit à la lettre les textes philosophiques, en plus des textes et rites religieux que nous veront dans d'autres chapitres.

Historiquement, les deux mouvements, philosophie et religion, se dévellopèrent dans le même temps, étant donné que certains philosophes Choedaaristes avaient également donné naissance à la religion.

Chapitre II-1 : Dieu

La Nature est source créatrice de toutes choses sur terre, c'est la divinité omniprésente qui compose le monde, son essence est dans chaque chose, animée ou non, sur terre. Tous les hommes possèdent en eux une part de cette divinité.
Au commencement des temps, la Nature était un être unique, seule composante de l'univers. Puis elle se mit à se déchirer. De sa surface est née la terre et les plantes, de ses liquides est née l'eau, de sa chair sont nés les animaux et les hommes naquirent de son coeur. Le monde est né, et sa continuité ne peut se faire uniquement si ses composants ne sont pas déréglés. Telle est la mission des hommes : assurer la continuité du monde par le respect de la Nature et de ce qu'elle compose, par la connaissance de celle-ci, grâce à l'Eveil.


Chapitre II-2 : L'Incarnation Divine

La Nature dans sa grande bonté s'incarne parfois sur terre pour soutenir les Hommes et leur faire part de sa lumière, en donnant son savoir et sa sagesse à un homme, afin que ceux-ci n'oublient qu'ils composent la Nature et que celle-ci les compose. La première incarnation fut reconnue en Lama Choedaar, et depuis ce temps les adeptes parcourent le monde à la recherche d'une nouvelle incarnation divine qui saura les guider sur le chemin de la quête vers l'Eveil, appelée Namdak.

Chapitre III : Les rites

A] L'Apprentissage, l'Abhisheka
En tout premier lieu, la personne désireuse de s'initier au Bouddhinsme afin de devenir adepte doit trouver un maître qui accepetera de le prendre comme disciple. Il lui enseignera son savoir et sa sagesse, et sera toujours à ses côtés, quittant sa famille et ses proches. Son maître sera alors pour lui sa seule famille, jusqu'à ce qu'il le considère apte à être officialisé adepte. Le disciple peut également poursuivre seul son initiation en quittant son maître et en devenant un Namdak Jigme Khedup (voir Culture Chapitre II-1).

B] L'Union, le Milun
Lorsque le maître l'aura décidé, le disciple pourra être reconnu comme adepte bouddhinste en réalisant l'Union. Il rejoindra sa famille et ses proches, accompagné de son maître, auquels il ne parlera pas avant la fin de l'Union. L'Union consiste en un jeûn de sept jours et sept nuits durant lesquels le disciple ne pourra s'abreuver que d'eau. A l'aube du huitième jour, le disciple partira s'isoler loin des hommes et méditera en un lieu calme, à l'image du Namdak Chungdak Kunsang. Il devra alors ne faire plus qu'un avec l'essence de la Nature en lui et autour de lui, oubliant son passé et ce qu'il est en tant qu'homme. Lorsqu'il ressentira suffisamment la divinité, il pourra alors rejoindre le monde des hommes et commencer sa vie d'adepte, à la poursuite de l'Eveil. Alors, son Maitre lui donnera ses noms bouddhinstes , correspondant à sa personnalité et/ou ses intérêts et qui seront son appelation au sein du bouddhinsme, ceci étant la représentation de la cassure avec son ancienne vie.

C] La prière
Chaque adepte a l'obligation de suivre différents rites composants la religion Bouddhinste. Le rite le plus courant est bien entendu la prière, à réaliser avant certaines actions, à genoux sur un coussin et les mains sur les cuisses, à dire à voix basse, à voix haute ou même à chanter. Voici les prières Bouddhinstes et les actions qui en dépendent :

Prière avant les Enseignements
"Par le pouvoir et la vérité de cette pratique,
Puisse tous les êtres jouir du bonheur et des causes du bonheur,
Puisse-t-ils être libres de la souffrance et des causes de la souffrance,
Puisse-t-ils ne jamais être séparés du grand bonheur dénué de souffrance,
Puisse-t-ils demeurer dans la grande équanimité qui
Est libre de toute passion, de toute agressivité et de tout Préjugé."

Prière après les Enseignements
"Par ces mérites, puisse tous les êtres atteindre l’omniscience de l’Éveil.
Et, ayant vaincu l’ennemi, les négativités et l’illusion, être libérés de l’Océan du Samsara.
Agités sans relâche par les vagues de la naissance, de la vieillesse, de la maladie et de la mort."

Prière avant la méditation
"Avec une foi sans réserve je rends hommage à Namdak,
Qui réside dans les dix directions et les trois temps.

J'offre en réalité et en imagination
Fleurs, encens, lumières, parfums,
Nourriture, musique et maints autres objets.
Je supplie la sainte assemblée d'accepter ces offrandes.

Je confesse tous les actes négatifs
Que j'ai commis sous l'influence des émotions perturbatrices
Et des dix actes non vertueux, les cinq actes les plus graves et les autres
Commis depuis des temps sans commencement jusqu'à maintenant.

Je supplie les Namdaks de ne pas passer au-delà de la souffrance
Mais, tant que le cycle des existences n'est pas complètement vide,
De veiller avec grande compassion sur tous les êtres
Immergés dans l'océan de la misère et de la peine.

Puisse tout mérite par moi rassemblé
Devenir une graine pour l'illumination de tous les êtres.
Sans délai, puissé-je devenir
Un guide splendide pour les êtres."



Voici des prières qui peuvent être dites sans être accompagnées d'une action :

Prière pour la paix
"Que tous les êtres tourmentés partout
par des souffrances du corps et de l’esprit
soient promptement délivrés de leurs maux.
Que ceux qui ont peur cessent d'être effrayés,
et que ceux qui sont attachés soient libérés.
Que ceux qui n'ont aucun pouvoir en trouvent,
et que les hommes pensent à se lier d'amitié
les uns avec les autres.
Que ceux qui se trouvent dans des déserts
sans chemins et inquiétants,
enfants, vieillards ou sans défense,
soient gardés par le Namdak sereint et bienveillant,
et atteignent rapidement la sagesse bouddhinste."

Prière pour appeler le Namdak
Namdak glorieux dissipant l'obscurité de l'ignorance;
Namdak glorieux indiquant le chemin de la libération;
Namdak glorieux libérant des eaux de l'existence cyclique;
Namdak glorieux dissipant les maladies des cinq poisons;
Namdak glorieux, joyau exhaussant tous les souhaits.

Namdak glorieux, s'il vous plaît bénissez-moi pour me rappeler la mort et l'impermanence sincèrement.
Namdak glorieux, s'il vous plaît bénissez-moi pour produire le contentement en moi.
Namdak glorieux, s'il vous plaît bénissez-moi pour demeurer en état de méditation.
Namdak glorieux, s'il vous plaît bénissez-moi pour être exempt de n'importe quelle interruption à ma pratique.

Namdak glorieux, s'il vous plaît bénissez-moi de sorte que toutes les mauvaises conditions apparaissent comme aides.
Namdak glorieux, s'il vous plaît bénissez-moi pour réaliser spontanément mon propre bien-être et celui des autres.

Veuillez me bénir maintenant rapidement.
Veuillez me bénir très rapidement.

Veuillez me bénir sur ce coussin même.
Veuillez me bénir en cette session même!

D] La méditation
Mis à part les prières, les adeptes ont également l'obligation de méditer, seul ou en groupe aprés la prière, chaque jour lorsque le soleil est situé le plus haut dans le ciel, jusqu'à ce qu'il soit suffisamment redescendu, c'est-à-dire d'environ 13 heure à 14 heure. Ils doivent être assis dans la position de la prière, et en direction du soleil. De plus, à la saison du Nalini ils doivent méditer sur un tapis fait de mentoks (des fleurs blanches, symbole de pureté).

E] L'ultime honneur
A la mort d'un Bouddhinste, un rite est à réaliser, issu d'une coutume Mnibétaine, afin que l'âme du défunt puisse quitter son envellope charnelle afin d'être libérée et de pouvoir se réincarner. Les proches du défunt devront méditer deux jours durant autour de la dépouille, en ne mangeant et s'abreuvant que au crépuscule, sans dormir. Puis le corps sera désossé et vidé de ses entrailles qui seront, ainsi que ses os, parfumés puis séchés, avant d'être brûlés. Les cendres seront dispersées autour de la maison ou a vécu le défunt, ou jetées dans un fleuve si celui-ci ne possédait pas d'habitation. Le reste du corps sera découpé et disposé sur un autel mortuaire où les animaux se chargeront de disperser les chairs.


Chapitre III : La relique

La seule relique Bouddhinste connue à ce jour est l'humérus du bras droit de Lama Choedaar, dit aussi (le) Namdak (voir chapitre I-2 des origines). A la mort du Namdak, en 365 avant notre ère, c'est-à-dire à l'an 0 du calendrier Bouddhinste, son corps fut dépecé comme le veut la coutume, mais le reste de ses ossements furent gardés et adorés par les adeptes. Seul un humérus échappa aux méfaits du temps, et est actuellement gardé au Grand Temple Nyima, devenu un grand lieu de pélerinage. Chaque année, durant la saison de l'Indra, les bouddhinstes chargés de la sauvegarde, de l'adoration et de la protection de la relique,
l'emmène avec eux dans une gigantesque procession à travers le monde connu, donnant lieu à de grandes réjouissances dans les villes où la procession fait halte.

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Message  Chaitanya Chinmay Lun 18 Juin - 18:19

Organisation du Temple Bouddhinste Mnibétain et à Travers le Monde

note : ce texte n'est pas terminé et est en cours de rédaction pour certains titres non présents.

Titre I - Du Namdak

Chapitre I - Des Charges du Namdak

Article I - 1
Son Eminence Spirituelle et Religieuse Le Trés Sage Namdak, énième réincarnation du Maître Lama Choedaar, est le Guide Spirituel et Religieux de tout Bouddhinste et de tout Choedaariste. Dans une Bonté Salvatrice le Namdak retarda son Eveil afin de nous permettre à tous d'approcher sa connaissance et sa sagesse.
Ses paroles sont issues de l'Ultime Sagesse et nul ne saurait les remettre en doute.

Article I - 2
Son Eminence Spirituelle et Religieuse le Namdak a la possibilité d'émettre des ordonnances qui ont une valeur de décret au sein du Temple Bouddhinste.


Chapitre II - De la Mort et de la Renaissance

Article I - 3
Peu avant une mort du Namdak, celui-ci fera part à ses frères de ses songes. Ils serviront à déterminer le lieu de la Renaissance.

Article I - 4
Le Namdak décédé, de grandes festivités seront organisées dans tout le monde bouddhinste. Son enveloppe charnelle sera exposée à la vue de tous deux jours durant. Tous les Ecclésiastiques, tous les grands noms croyants, devront respecter le rite de l'Ultime Honneur. La dépouille du Namdak sera brulée au Grand Temple Nyima, et le bucher funéraire sera allumé par les Grands Maître Bouddhinstes, lors d'une grande cérémonie religieuse, de méditation et de recueillement.

Article I - 5
Le Temple Bouddhinste devra trouver la nouvelle enveloppe charnelle dans laquelle le Namdak se sera une nouvelle fois réincarné, grâce aux indications prémonitoires.

Article I - 6
Une fois trouvé, l'enfant sera éduqué au Grand Temple Namdak avec tout le respect qui lui est du. A l'âge de treize ans, il sera considéré comme la réincarnation du Namdak. Il choisira son nom et pourra prendre ses charges. Durant ces treize années, les Grands Maîtres se chargeront des charges du Namdak.


Titre II - De la Nomination

Chapitre I - Du Choesang

Article II - 1
Sera considéré comme adepte Bouddhinste tout homme ou toute femme ayant accompli son Abhisheka et son Milun sous l'autorité et la bénédiction d'un Maître confirmé dans sa maîtrise.

Article II - 2
L'adepte pourra alors prendre au sein du Temple la nomination de Choesang, et son Maître sera chargé de lui remettre ses noms bouddhinstes qu'il portera tout au long de cette vie.

Article II - 3
L'adepte ayant choisi d'acquérir le statut de Choesang sera considéré comme étant un Ecclésiastique. Il devra alors abandonner tout ses titres antérieurs à sa vie religieuse et devra s'accorder quotidiennement avec les doctrines Bouddhinstes.


Chapitre II - Du Maître

Article II - 4
Tout Choesang de sexe masculin pourra prétendre à acquérir le statut de Maître en acceptant d'enseigner humblement les Sages et Salvatrices Pensées à un disciple et en l'accompagnant dans le respect des préceptes bouddhinstes jusqu'à son Abhisheka.

Artcile II - 5
Le Maître sera alors apte à prodiguer son Savoir à travers le monde et dans le cadre scolaire si une telle demande lui parvient.


Chapitre III - Du Grand Maître

Article II - 6
Tout Maître pourra être ordonné Grand Maître par Son Eminence Spirituelle et Religieuse le Namdak.

Article II - 7
Le Maître ainsi ordonné aura une ou plusieurs charges et fonctions définies par Son Eminence Spirituelle et Religieuse le Namdak.


Chapitre IV - Du Bozu

Article II - 8
Pourra prétendre à à acquérir le statut de Bozu tout Choesang ayant été accepté au sein d'un BozuDzong sous l'autorité d'un Grand Maître.

Article II - 9
Le Bozu devrai ainsi se plier aux règles internes régissant la communauté du BozuDzong, fixée par le Grand Maître du BozuDzong.

Article II - 10
Nul Bozu n'aura le droit d'accepter le salaire d'un emploi, quel qu'il soit.

Article II - 11
Avec l'autorisation du Grand Maître, le Bozu aura la possibilité de quitter le BozuDzong afin de faire part de ses enseignements à travers le monde, tout en respectant les règles de sa communauté de Bozus.


Titre III - Du Conclave

Article III - 1
Le Conclave est la plus haute institution du Temple. Les décisions du Conclave ne peuvent être remises en doute et font office de loi.

Article III - 2
Les membres du Conclave sont nommés par le Namdak parmi le Clergé, hormis les Grands Maîtres des Congrégations qui sont considéré comme membres du Conclave.

Article III - 3
Le Conclave se réunit sur invitation du Namdak afin de discuter et de donner une décision sur des sujets religieux, philosophiques, culturels, ou en rapport avec l'éducation et la santé nationale du Royaume du Mnibet.


Titre IV - Des Congrégations

Article IV - 1
La Congrégation représente l'ensemble des fidèles Bouddhinstes et des Choedaaristes d'un pays étranger au Mnibet.

Article IV - 2
Le Namdak nomme un Grand Maître parmi les bouddhinstes citoyens du pays de la Congrégation qui sera le chef religieux et spirituel bouddhinste du pays étranger. Il aura la charge de veiller au respect des préceptes bouddhinstes et représentera les bouddhinstes et les choedaaristes du pays au sein du Temple.


Titre V - De l'Oracle d'Etat

Chapitre I - Des Charges de l'Oracle D'Etat

Article V - 1
L'Oracle d'Etat est la énième réincarnation de Adung Dhargye, premier disciple de Lama Choedaar qui a acquis le don de prémonition afin de veiller sur le peuple Mnibétain.

Article V - 2
Sur demande du Clergé, de la noblesse ou de l'Outamaraya, l'Oracle d'Etat devra au plus tôt entrer en transe méditative à la fin de laquelle il fera part de ses songes, qu'il décryptera afin de faire connaître le sort du destin.


Chapitre II - De la Mort et de la Renaissance
Article V - 3
Peu avant une mort de l'Oracle d'Etat, toutes ses paroles devront être notée. Elles serviront à déterminer le lieu de la Renaissance.

Article V - 4
L'Oracle d'Etat décédé, de grandes festivités seront organisées dans tout le monde bouddhinste. Son enveloppe charnelle sera exposée à la vue de tous deux jours durant. Tous les Ecclésiastiques, tous les grands noms croyants, devront respecter le rite de l'Ultime Honneur. La dépouille de l'Oracle d'Etat sera brulée au Grand Temple Nyima, et le bucher funéraire sera allumé par les Grands Maître Bouddhinstes et le Namdak, lors d'une grande cérémonie religieuse, de méditation et de recueillement.

Article V - 5
Le Temple Bouddhinste devra trouver, malgré le peu de précision des paroles de l'Oracle, la nouvelle enveloppe charnelle dans laquelle l'Oracle d'Etat se sera une nouvelle fois réincarné, grâce aux indications prémonitoires.

Article V - 6
Une fois trouvé, l'enfant sera éduqué au Grand Temple Namdak avec tout le respect qui lui est du. A son adolescence, âge de ses premières prémonitions, il sera considéré comme la réincarnation de l'Oracle d'Etat. Il choisira son nom et pourra prendre ses charges.



[...]

Titre - Du Pèlerinage

Article - 1
Tout Choesang se doit d'avoir effectué au moins une fois dans sa vie le Pélerinage de l'Eveillé, pour peu qu'il en ait les moyens physiques.

Article - 2
Les périodes propices à l'accomplissement des rituels du Pélerinage sont les dix premiers jours du premier mois de chaque saison.

Article - 3
Le Pèlerin, quelque soit son sexe, effectuera son Pèlerinage vêtu d'un pagne blanc du plus simple tissu, sans coutures, afin de matérialiser son humilité. Il ne devra avoir aucun contact direct avec de l'argent ou des biens dits précieux, ni avoir de relations sexuelles, ni manger de la viande, ni tuer d'animal ou de végétal, ni être possédé par ses sentiments, ni mentir, ni laisser quelqu'un dans le besoin, ni se raser.

Article - 4
Le Pèlerin se rendra face au mont Phuntsok au pied duquel le Maître parmi les maîtres Lama Choedaar enseignait. Il y restera deux jours durant et méditera sur ses fautes passées, ses errements, symbolisant son rapprochement avec Le Maître.

Article - 5
Le lendemain suivant ces deux jours de méditation, le Pèlerin se rendra dans la ville capitale d'Ajita et par trois fois tournera autour du Temple Reliquaire, disant "La Mort est une halte, la Vie est la route vers l'Eveil."

Article - 6
Le jour suivant l'Approche de la Relique, le Pèlerin s'assiera devant le Grand Temple Nyima et attendra l'apparition du Namdak. Dés qu'il le verra, il dira par trois fois "Sagesse parmi les sagesses, Savoir parmi les savoirs, Humble parmi les humbles, Harmonie des harmonies, je me présente à toi". Aucun sentiment de vénération ne devra être ressenti, seul le respect face à l'Etre Eveillé est d'usage pour le fidèle.

Article - 7
Le Pèlerin reviendra au mont Phuntsok, et montera à son sommet pour en redescendre et ce par trois fois, afin de symboliser l'escalade de la montagne Tsewang par Chungdak Kunsang.

Article - 8
Le Pèlerin ayant accompli ses rituels purificateurs se sera alors approché de l'Eveil du Maître parmi les maîtres. Il sera considéré comme "Adil", lequel terme précèdera désormais son nom jusqu'à sa présente mort. Il sera un modèle de Piété, d'Humilité et de Sagesse.
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Message  Chaitanya Chinmay Lun 18 Juin - 18:20

Cours sur l'implication intermicronationale du Bouddhinsme

Depuis plusieurs mois, le bouddhinsme s'investit, notamment grâce à des dons privés et aux dons de Son Eminence Chaitanya Chinmay de par les bénéfices de ses entreprises, dans des oeuvres caritatives. Comme premier exemple, l'association caritative Kunja a comme objectif l'aide aux nécessiteux par la distribution gratuite, par des bénévoles majoritairement bouddhinstes, de biens de premières nécessités. En second exemple, l'orphelinat Kalyan du duché de Ninjovskia en Sainte Russlavie, gérée par les "Frères des Pauvres", des religieux bouddhinstes, recueille des orphelins et veille à leur enseigner les bases de la scolarité, et de leur fournir l'affection essentiel au premier âge.

Actuellement, l'association Kunja est présente en Russlavie et en Dastornia, et tend à s'implanter en Edoran et au Belondor.

Le logo de l'association Kunja :

Enseignements Généraux Kunjamh1


Des affiche de Kunja placardées dans les pays où l'association est présente
:

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L'Impératrice du Saint-Empire d'Edoran marraine l'association :

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Liste des oeuvres caritatives bouddhinstes permanentes (avec leurs liens) :

Association Kunja de Dastornia.

Association Kunja de Sainte Russlavie.

Orphelinat Kalyan (rattaché à Kunja), Sainte Russlavie, Duché de Ninjovskia.

Association Kunja d'Edoran.

Association Kunja d'Ardanie, Belondor.
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